• Cet article que je vais vous faire connaître est très  explicite de la situation en France...Mais qui va s'attarder sur ce sujet  alors que les fêtes de fin d'année arrivent ?

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    La "France d’à côté" ne se sent plus représentée

    LEMONDE | 06.12.11 | 12h37   •  Mis à jour le 06.12.11 | 14h31

     
     http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2011/12/06/la-france-d-a-cote-ne-se-sent-plus-representee_1613839_1471069.html#ens_id=1613847&
     

    Pour qui voteront ces quelque 40 % d'électeurs qui affirment aujourd'hui ne se reconnaître ni dans la gauche ni dans la droite ?

    Pour qui voteront ces quelque 40 % d'électeurs qui affirment aujourd'hui ne se reconnaître ni dans la gauche ni dans la droite ? AFP/PHILIPPE HUGUEN

    La société française se fissure, une partie fait le constat d'un "abandon démocratique". C'est la "France des invisibles", la "France d'à côté", celle qu'on n'entend pas, dont on ne relaie pas les colères et qui se sent de moins en moins représentée.

    Avec des outils d'analyse différents, des sociologues, des géographes, des politologues et des spécialistes de l'opinion travaillant pour des institutions différentes et parfois concurrentes arrivent au même diagnostic. A cinq mois de l'élection présidentielle, ils partagent la même conviction : la clé de l'élection se trouve dans la réponse que les candidats sauront apporter à cette partie de l'électorat, de plus en plus nombreuse, qui oscille entre colère sourde et résignation rageuse.

     

    "Une rupture d'ordre existentiel s'est produite", affirme le sociologue et sondeur François Miquet-Marty, qui vient de publier Les Oubliés de la démocratie (Michalon, 304p., 17 euros). Des franges de plus en plus larges de la population ont le sentiment que ce qu'elles vivent n'est relayé par personne. Alain Mergier fait le même constat. En 2006, cet ancien professeur de sémiologie avait publié, avec le sociologue Philippe Guibert, une enquête sur les milieux populaires dont le titre avait marqué les esprits : Le Descenseur social (Plon, Fondation Jean-Jaurès). Cinq ans plus tard, le regard qu'il porte sur la société française est beaucoup plus inquiétant. Plus que jamais, explique-t-il, s'est installée l'idée que "deux France suivent des chemins opposés".

    L'image n'est plus, comme il y a encore quelques années, celle d'une "société à deux vitesses", dont une partie profiterait plus que l'autre des fruits de la croissance. Désormais, "une partie de la société a le sentiment qu'elle fait marche arrière parce que l'autre fait marche avant", explique M. Mergier. Comme si le bonheur des uns ne pouvait passer que par le malheur des autres.

    LES CLASSES MOYENNES TOUCHÉES

    Ce sentiment de "faire marche arrière", combien sont-ils au juste à le partager ? "Jusqu'au milieu des années 2000, on pouvait dire que c'était l'apanage des milieux populaires", répond M. Mergier. Grosso modo la France du "non", celle qui avait voté non aux référendums européens de 1992 et 2005, parce qu'elle se sentait perdante dans la mondialisation. "Aujourd'hui, une partie des classes moyennes est touchée", ajoute-t-il, tout en convenant qu'une définition socioéconomique est insuffisante.

    Plus encore que le niveau de revenu en tant que tel, c'est l'image que se font les individus de leur place dans la société qui importe. "La puissance des marchés a engendré un malaise existentiel et diffus. Même certains cadres sont touchés: ils ont le sentiment de subir aujourd'hui une perte de leur valeur personnelle, car l'obligation de rentabilité à court terme remet en cause leur travail", explique M. Mergier.

    Pour cerner les contours de cette société hantée par la perte d'identité et la crainte du déclassement, Christophe Guilluy dessine des cartes. Coauteur d'un Atlas des nouvelles fractures sociales (Autrement, 2004), ce géographe distingue deux France. La première est celle des "25 grandes métropoles qui profitent de la dynamique de la mondialisation". Elles vivent un double phénomène d'embourgeoisement et d'immigration. La seconde France inclut l'essentiel du monde rural et périurbain, mais aussi de très nombreuses villes moyennes, touchées par la désindustrialisation et les plans sociaux à répétition.

    Selon M. Guilly, cette "France périphérique", caractérisée par "une part plus importante des ouvriers et des employés dans la population, un taux de chômage et d'emploi partiel supérieur à la moyenne nationale et un revenu moyen inférieur au revenu médian", concentrerait environ 65 % de la population. Elle accueille des natifs, mais aussi des migrants qui n'ont pu trouver leur place dans les grandes métropoles.

    CRAINTE DE LA MONDIALISATION

    L'Ouest, par exemple, a connu récemment d'importants mouvements de population, mais "c'est une géographie qui va se figer, car les logiques foncières sont très fortes : une fois que vous avez quitté la ville, vous n'y revenez plus", explique le géographe. C'est la raison pour laquelle il ne croit plus à la notion de classes moyennes.

    "On assiste à la réémergence des classes populaires, à qui on répète depuis 25 ans qu'elles vont profiter de la mondialisation et qui, en réalité, sont en situation de précarité sociale, éloignées des endroits importants et de l'offre scolaire la plus qualifiée. Si l'usine du coin ferme, elles dégringolent. La crise valide leur crainte de la mondialisation", ajoute Christophe Guilly qui, comme Alain Mergier, fait partie des auteurs du récent Plaidoyer pour une gauche populaire (sous la direction de Laurent Baumel et François Kalfon, Le Bord de l'eau, 118 p., 10 euros).

    Que fera, en 2012, cette "France qui se sent reléguée, à tous les sens du terme" ? Pour qui voteront ces quelque 40 % d'électeurs qui affirment aujourd'hui ne se reconnaître ni dans la gauche ni dans la droite ? Le vivier est stratégique : si elles ne sont pas reconquises, ces quelque 16 millions de voix peuvent se réfugier dans l'abstention ou le vote Front national. Anne Muxel, chercheuse au Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof), rappelle que les cinq dernières élections – législatives de 2007, municipales de 2008, européennes de 2009, régionales de 2010 et cantonales de 2011 – ont enregistré des records d'abstention. Bouder les urnes devient de plus en plus une façon de sanctionner l'offre politique.

    >> Lire La défiance envers les dirigeants politiques en hausse

    Cependant, depuis le choc du 21 avril 2002, plus personne ne sous-estime le pouvoir d'attraction du Front national dans l'électorat populaire. Son haut niveau aux cantonales de mars – y compris dans certains secteurs de cette France de l'Ouest où le FN était jusque-là inexistant – est souligné par tous les observateurs.

    "Politiquement, il s'est produit quelque chose dans cet électorat, un point de rupture", soulignent Alain Mergier et Jérôme Fourquet qui, par des chemins différents, en sont arrivés à la même conclusion : pour une partie de l'électorat populaire, le vote FN n'est plus un vote de sanction ou d'avertissement mais un vote d'adhésion (Le Point de rupture, Fondation Jean-Jaurès, 86p., 6 euros).

    LÉGITIMITÉ SAPÉE

    La crise de la dette a un effet ravageur : elle sape la légitimité des gouvernants qui semblent courir derrière les marchés. Elle n'est pas appréhendée par le biais des discours politiques mais à travers l'expérience personnelle du surendettement. "L'idée prévaut que c'est une dette pharaonique, qui ne peut trouver de solution dans le cadre économique actuel. Pour rompre le nœud, il faut trancher. Pour beaucoup, cela passe par la sortie de l'euro", observe M. Mergier. Chez les ouvriers et les employés, plus de la moitié des électeurs souhaite la disparition de la monnaie unique, alors que ce sentiment n'est partagé que par un tiers de l'ensemble de l'électorat.

    Des entretiens réalisés par Alain Mergier, mais aussi de la récente enquête publiée par François Miquet-Marty, un mot surnage : l'insécurité. Physique, économique, identitaire, liée au vécu et, tout aussi important, à la conviction qu'il s'est produit une rupture dans les règles du jeu. "Quand vous n'avez pas de réseaux, la notion de règle du jeu est vitale, explique M. Mergier. Elle renvoie à la question des habitudes qui, lorsqu'elles sont brisées, induisent la menace de l'imprévisible."

    "PEUR D'UNE HÉGÉMONIE"

    C'est parce qu'ils ont l'impression que les règles du jeu sont faussées que "les milieux populaires détestent les profiteurs du bas, ceux qui trichent avec les prestations sociales et qui travaillent au noir", explique le chercheur. Et c'est parce qu'ils ont l'impression de subir un processus de destruction des règles de vie commune que "le terme le plus porteur dans leur discours est celui d'islamisation, qui renvoie à la peur d'une hégémonie", assure M. Mergier. "Les milieux populaires sont ceux qui ont été les plus exposés à la mondialisation et au multiculturalisme. Or on ne les a pas armés pour", confirme M. Guilluy.

    Pour les candidats qui veulent reconquérir l'électorat populaire, la conjugaison de la question identitaire et de la question sociale est redoutable, car celle qui fait le lien entre les deux problématiques est précisément Marine Le Pen. "Elle colle à la demande. Elle a calé son programme sur la nouvelle sociologie du FN. Elle est passée du libéralisme à l'étatisme", constate M. Guilluy. Dans la revue Etudes, Dominique Reynié, directeur général de la Fondation pour l'innovation politique (proche de l'UMP) et auteur du livre Populismes, la pente fatale (Plon, 280p., 19,50 euros), qualifie le discours de la présidente du FN d'"ethno-socialiste".

    "La question de l'extrême droite n'est pas seulement une question politique posée à la droite, c'est aussi une question sociale posée à la gauche", confirme Pascal Perrineau, directeur du Cevipof, qui insiste sur le parallélisme avec l'évolution des extrêmes droites européennes. "Le protectionnisme culturel s'est prolongé d'un ralliement au protectionnisme économique et d'une remise en cause du credo néolibéral du début", dit-il. Pour M. Miquet-Marty, "le grand danger de la période a un nom : le populisme".

    Françoise Fressoz et Thomas Wieder

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  • Il va falloir encore mettre la main à la poche si on veut se chauffer ou manger, ou les deux à la fois...!

    Bientôt, entre les augmentations du Gaz et de l'électricité va falloir choisir : Manger ou se chauffer en attendant de savoir si on va encore pouvoir payer son loyer !

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    Gaz: la suspension du gel des prix est un coup dur pour le gouvernement

    - Publié le 28/11/2011 à 17:15

     
    Le coup est rude pour le gouvernement et le ministre de l'Energie Eric Besson, qui avait confirmé la semaine dernière le gel des prix du gaz et de l'électricité d'ici la présidentielle, un coup de pouce pour le pouvoir d'achat et une promesse phare dont se targuait la droite à l'approche des élections.

    Le coup est rude pour le gouvernement et le ministre de l'Energie Eric Besson, qui avait confirmé la semaine dernière le gel des prix du gaz et de l'électricité d'ici la présidentielle, un coup de pouce pour le pouvoir d'achat et une promesse phare dont se targuait la droite à l'approche des élections.

    Le gouvernement a perdu lundi une manche dans la bataille des prix du gaz, en voyant retoqué par le Conseil d'Etat son gel des tarifs de GDF Suez --une de ses promesses en terme de pouvoir d'achat-- avec un mois pour revoir sa copie.

    Saisie par la procédure d'urgence du référé, la plus haute juridiction administrative a relevé "un doute sérieux sur la légalité" de l'arrêté officialisant le maintien au 1er octobre des tarifs réglementés de GDF Suez dont bénéficient quelque 10 millions de ménages français.

    Le Conseil d'Etat relève que selon la Commission de régulation de l'Energie (CRE), qui avait désavoué le gouvernement dans un rare "avis défavorable" fin septembre, les prix auraient dû augmenter "de 8,8% à 10% selon les tarifs" dans le cadre de la formule en vigueur.

    Critiquée notamment par les associations de consommateurs qui l'accusent d'être défavorable au client, la formule est actuellement en cours de révision. Mais le gouvernement n'était pas en droit de la jeter aux oubliettes, selon la justice.

    "Contrairement à ce que soutenait l'administration, aucune disposition du décret du 18 décembre 2009 ne permettait aux ministres de suspendre l'application de la formule tarifaire", a répliqué le Conseil d'Etat, qui donne un mois à Bercy "pour se prononcer à nouveau" sur les tarifs.

    Le coup est rude pour le gouvernement et le ministre de l'Energie Eric Besson, qui avait confirmé la semaine dernière le gel des prix du gaz et de l'électricité d'ici la présidentielle, un coup de pouce pour le pouvoir d'achat et une promesse phare dont se targuait la droite à l'approche des élections.

    Sollicité par l'AFP, le cabinet du ministre n'a pas réagi dans un premier temps à cette décision pour l'heure sans impact pour les foyers.

    A la Bourse de Paris, GDF Suez surfait sur l'enthousiasme général: vers 16H15, son action s'envolait de 6,45% à 19,30 euros, mais dans un marché lui aussi en très forte hausse (+4,97%).

    "La décision du Conseil d'Etat confirme notre analyse juridique, qui est que la loi doit s'appliquer", a dit une porte-parole du groupe.

    Le recours en référé n'émanait pourtant pas du géant gazier mais de ses petits concurrents: l'association nationale des opérateurs détaillants en énergie (Anode), qui regroupe les fournisseurs alternatifs Direct Energie, Poweo, Altergaz et Gaz de Paris.

    GDF Suez avait lui aussi attaqué l'Etat --une première à l'encontre de son actionnaire principal-- mais s'était contenté d'un recours.

    L'Anode faisait valoir que les tarifs bas imposés à GDF Suez créaient une distorsion de concurrence dont ses petits concurrents, à la situation financière beaucoup plus fragile, faisaient les frais. Le Conseil d'Etat a reconnu le caractère "urgent" de leur demande, l'hiver représentant le gros des ventes de gaz.

    "Ce rappel à la loi était indispensable, le gouvernement étant tenu de respecter les règles qu'il a lui-même fixées", a fait valoir à l'AFP Me Frédéric Thiriez, un des avocats de l'Anode.

    "Au-delà, le Conseil d'Etat affirme son attachement à une ouverture effective du marché du gaz à la concurrence qui profitera, à terme, aux consommateurs", a-t-il espéré.

    Car l'ouverture à la concurrence, effective depuis 2007, reste globalement une chimère en France, sans compter une hausse importante des prix ces dernières années.

    Plus de 90% des particuliers sont restés clients de GDF Suez, et les quelques centaines de milliers d'abonnés qui lui ont échappé ont rejoint... EDF.

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  • La France est un pays très intéressant pour les laboratoires en tout genres !

    Le Français est le cobaye idéal qui ne se rebiffe pas car son gouvernement est à la botte des lobbys industriels !

    Notre organisme sert à tester tout se qui traîne sur cette terre !

    Comme ci on ne mangeait pas assez de poisons dans nos assiettes...faut encore en rajouter et c'est pas fini !

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    Cultiver du maïs Monsanto va être de nouveau possible en France

    http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/28/1226545-cultiver-du-mais-monsanto-va-etre-de-nouveau-possible-en-france.html

    Monsanto, leader mondial des OGM, vient de remporter une belle bataille en France. Le Conseil d'Etat a, en effet, annulé la suspension de culture de son maïs prise par le gouvernement français en 2008. Cette décision avait été depuis remise en cause par la Cour de justice européenne.

    "Tirant les conséquences de l'arrêt de la la Cour de justice européenne, le Conseil d'État relève que le ministre de l'Agriculture n'a pu justifier de sa compétence pour prendre les arrêtés, faute d'avoir apporté la preuve de l'existence d'un niveau de risque particulièrement élevé pour la santé ou l'environnement", est-il écrit dans le communiqué du Conseil d'Etat.

    Le gouvernement a annoncé, dès la prise de position de la Cour de justice européenne, qu'il prendrait "une nouvelle clause de sauvegarde" si la suspension actuelle était annulée. La Cour de justice européenne avait demandé à l'Etat français de revoir sa copie en matière d'OGM, estimant que sa décision de suspendre sa culture ne reposait sur aucune base juridique acceptable.

    L'objectif du ministère de l'Ecologie était, lui, d'éviter "la mise en culture d'un OGM qui n'a pas été évalué suivant les nouvelles exigences demandées au niveau européen ou pour lequel des incertitudes quant à ses impacts potentiels sur l'environnement persistent."

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  • Je sais que vous allez me dire que c'est dans une rubrique" internationale" que je devrais mettre cet article mais je pense que la rubrique nationale est bien, étant donné qu'on ve le trouver dans les rayons jouets des magasins pour les fêtes de fin d'année !

    Avant d'acheter ce kart, contrôlez le lieu de fabrication du jouet... si c'est la Chine, remettez le en place car les peintures et autres composants peuvent être dangereux pour nos chères "têtes blondes et brunes" ! Privilégiez les jouet fabriqués en Europe !

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    Insolite : le kart de Mario au salon de Los Angeles 2011

    Le Kart de Mario est il fabriqué en Chine ou en Europe ?

     Par Alexandre Primard

    Publié le Vendredi 18 Novembre 2011 à 13h39

     

     Le salon de Los Angeles, c'est l'occasion de découvrir les nouveautés et les derniers concepts. Mais on y trouve aussi des véhicules insolites, comme cette réplique du kart de Mario.

    Depuis des années, Nintendo permet à des millions d'enfants à travers le monde de prendre le volant, quel que soit leur âge. Un succès qui est dû, en partie, à la grande popularité du jeu Mario Kart.

    Un monde où les joueurs évoluent sur des routes virtuelles en s'envoyant des armes de différentes sortes pour grappiller des places. Face au succès de son petit univers, Nintendo s'est associé à West Coast Customs pour proposer au public deux véhicules sympathiques.

    Au salon de Los Angeles, les visiteurs peuvent donc découvrir une réplique grandeur nature de deux véhicules du jeu. Il y a tout d'abord le Standard Kart de Mario et le Bumble V de Luigi. Plus étonnant : les deux sont en état de marche.

    Le kart de Mario est une traction qui repose sur des pneumatiques de 18 pouces. Celui de Luigi est également une traction et adopte des pneus de 16 pouces. Pour le reste, place aux photos puisque Nintendo ne nous en dit pas plus.


    Actus et Tests auto sur Turbo.fr : Insolite : le kart de Mario au salon de Los Angeles 2011 - Turbo.fr

    http://www.turbo.fr/actualite-automobile/459256-insolite-kart-mario-salon-los-angeles-2011/#message#ixzz1e4cgQdCn

     

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  • A 10 ans on est un enfant mais 13 et 14 ans, on est un "ado" qui se rend compte de ce qu'il peut se passer si on fait dérailler un train...Ce n'est pas un jeu vidéo auquel ils sont entrain de jouer.
    On ne peux pas revenir en arrière quand des gens sont morts et cela ne rapporte pas de points marqués.
    Les parents sont entièrement responsables de ce qui vient de se passer...Peux importe que l'on soit d'une famille modeste (les riches ne sont pas mieux car ils ont l'argent pour cacher les frasques de leurs bambins) ce n'est pas une raison de fuir al responsabilité de l'éducation donné.
    Ces gosses doivent être des fans de jeux vidéos à sensation...C'est franchement triste d'en arriver à vouloir faire dérailler un train par ennui !

    Un train qui déraille, ils ne peuvent pas dire qu'ils ne savent pas que cela peut entraîner des morts de voyageurs.

    Si c'est le cas, les psychiatres vont avoir un sérieux problème pour les remettre sur le "bon rail" afin de leur faire réaliser ce que leur acte aurait pu entraîner !

    Il va falloir aussi voir aussi où l'éducation a failli !

    Je pleins leur parents !

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    Trois enfants voulaient faire dérailler un train

    Par FTV avec agences  

    Ce projet, qu¿ils voyaient comme un « jeu », a valu aux enfants âgés de 13 et 14 ans, d¿être mis en examen.

    Les faits ont eu lieu lundi dans une ville rurale de l’Aveyron, Baraqueville. Les trois compères étaient accompagnés d’un autre enfant, âgé de 10 ans.

    Incrédule, le procureur de Rodez a tenté vendredi de trouver des explications au geste de ces enfants « sans histoires. » « C'étaient les vacances scolaires, ils s'ennuyaient et ils ont eu l'idée de faire ça pour s'amuser », a expliqué le magistrat. Les trois enfants, originaires de Baraqueville, ont entrepris lundi de disposer sur la ligne Rodez-Toulouse divers obstacles, afin de faire dérailler un train.

     

    Panneaux de signalisation, branchages : les jeunes gens entendent bien arriver à leurs fins. Sauf que les deux premiers trains franchissent sans peine les obstacles disposés par le groupe de jeunes. Ils sont alors « passés à la vitesse supérieure » selon le procureur : ils ont réussi à déplacer des blocs de béton sur la voie. Un train régional de voyageurs a heurté les blocs et a été sérieusement  endommagé.

     

    Il a fallu plusieurs centaines de mètres au convoi pour s'arrêter, ce qui peut avoir fait croire aux enfants que ce train était lui aussi passé sans encombre. Quand le conducteur de la motrice a remonté la voie, il les a vus qui s'étaient déjà remis à l'ouvrage. Ils se sont enfuis, mais ont été retrouvés par les gendarmes. Les enquêteurs sont restés confondus en les interrogeant.

                  

    "On a essayé d'en savoir plus. C'est le grand vide, c'est incompréhensible: manque total d'empathie pour les gens qui étaient dans le train, de compréhension des conséquences. C'était un jeu, mais même quand ils ont été présentés au juge pour enfants, ils l'ont décrit comme tel. Impossible de les amener à se rendre compte de la gravité des faits", a dit le procureur. Pourtant, il s'agit selon lui d'enfants de "familles modestes mais sans histoires".

    Lien :

    http://info.france2.fr/france/trois-enfants-voulaient-faire-derailler-un-train-71117341.html#.TrYvuQywQZI.facebook

     

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  • Il est inadmissible que les journaux Français soient menacés par des extrêmistes étrangers.

    On est en France avec le droit de rire de tout du moment que ce n'est pas insultant...Nous allons devoir faire attention à tout ce que nous écrivons sinon on va être en but à des menaces de mort et des attaques sur nos blogs ou nos murs...C'EST INADMISSIBLE... 

    La 3ème guerre mondiale est déclarée depuis les années 80 par le biais de l'économie et elle va se préciser de plus en plus par le fait de nous interdire de nous exprimer et cela, par le fait de menaces d'extrêmistes de tout bord...Ici des extrêmistes Turcs !

    Nous ne devons pas courber le dos devant de telles menaces...DEFENDONS NOTRE DROIT A NOUS EXPRIMER...Pour nous et pour les générations suivantes !

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    Le site de Charlie Hebdo ciblé par des hackers turcs ?

    Le site internet de Charlie Hebdo, qui avait été piraté mercredi matin avant d'être mis hors service tandis que le siège du journal était victime d'un incendie criminel, demeurait inaccessible jeudi, en raison de menaces de mort adressées à l'hébergeur, a indiqué Valérie Manteau, journaliste et responsable du site. A la suite du piratage du site, la société Bluevision, qui gère l'hébergement, l'avait mis hors service. Depuis, la société, basée en Belgique, "ne veut pas le remettre en ligne" car celle-ci "a reçu des menaces de morts", a expliqué à l'AFP Valérie Manteau. "Soit la police les rassure et on parvient à les convaincre de le remettre en ligne, soit on change d'hébergeur", a-t-elle ajouté.

    Selon le nouvelobs.com, le piratage du site de l'hebdomadaire, dont la rédaction a été incendiée dans la nuit de mardi à mercredi à Paris, a été revendiqué par un groupe de hackers turcs, Akincilar. Celui-ci a justifié sa démarche comme "une lutte contre une publication qui attaque (ses) croyances et (ses) valeurs morales".

    Valérie Manteau a également souligné que la page Facebook de Charlie Hebdo serait bientôt fermée aux commentaires extérieurs. Depuis mercredi, celle-ci a en effet été envahie par des milliers de commentaires, parfois extrêmes, en français ou en arabe, de musulmans se disant indignés par la Une du journal représentant Mahomet, rebaptisé "Charia hebdo".

    Lien :

    http://lci.tf1.fr/filnews/france/le-site-de-charlie-hebdo-cible-par-des-hackers-turcs-6807402.html

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  • Disparitions des fromageries traditionnelles et familiales...Place aux gros groupes industriels pour fabriquer nos chers fromages si délicieux à nos papilles !

    Quand on pense au gout des fruits et légumes de maintenant avec la culture intensive et en serre...On a des soucis à se faire pour nos fromages !

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    Lactalis étend son empire fromager

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    Par , Ivan Letessier Publié le 31/10/2011 à 10:24 Réagir

    Lactalis est le premier acteur mondial des AOC fromagères. Crédit : François Bouchon/Le Figaro
    Lactalis est le premier acteur mondial des AOC fromagères. Crédit : François Bouchon/Le Figaro
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    Déjà présent sur 36 des 46 AOC françaises, Lactalis devient leader sur les marchés du rocamadour, du banon et du saint-marcellin.

    Le plateau de fromages d'origine contrôlée (AOC) de Lactalis ne cesse de s'agrandir. Grâce au rachat des Fromageries de l'Étoile, le groupe lavallois, déjà présent sur 36 des 46 AOC françaises (du roquefort au livarot en passant par le reblochon, le maroilles et le salers…), devient leader sur les marchés du rocamadour, du banon et du saint-marcellin, une appellation qui devrait prochainement obtenir le label «Indication géographique protégée» (IGP).

    Selon le site CFnews, qui a révélé cette reprise, Les Fromageries de l'Étoile seraient valorisées par Lactalis entre 50 et 100 millions d'euros. La société basée dans l'Isère, jusqu'ici propriété de la famille Lebard, a réalisé l'an passé un chiffre d'affaires de 51 millions d'euros, compte environ 300 salariés et quatre sites de production dans le Quercy et le Vercors.

    Leader mondial des produits laitiers

    Cette acquisition n'est qu'une bouchée pour le géant Lactalis, devenu le leader mondial des produits laitiers au début de l'été, grâce à son OPA réussie sur l'italien Parmalat, avec un chiffre d'affaires annuel désormais supérieur à 14 milliards d'euros. Mais elle est hautement symbolique.

    Plus connu pour ses performances industrielles et ses marques globales (Lactel, Président, Galbani, yaourts Nestlé…), Lactalis est en effet également le premier acteur mondial des AOC fromagères. Celles-ci ne représentent qu'une part minime de la production du groupe, mais elles tiennent à cœur à son président.

    Emmanuel Besnier, principal actionnaire et petit-fils du fondateur, tient à préserver les ancrages locaux et régionaux de son empire laitier. En avril, Lactalis avait pris le contrôle de la fromagerie Wachli, basée à Condat-en-Feniers (Cantal) et spécialisée dans le saint-nectaire.

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  • A tous les futurs candidats aux présidentielles, (adressé à Bayrou, Hollande et Aubry pour le moment) sur leur compte GOOGLE +1

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    Voici les sujets sur lesquels je souhaiterais débattre avec vous en face à face si vous passez à Orléans :

    - quand est il d'Hadopi,

    - du remboursement des médicaments ?

    - du cadrage des laboratoires pharmaceutiques et du corps médical afin qu'on ne se retrouve pas sur-dosé de médicaments sur nos ordonnances car ce n'ai pas le patient qui rédige l'ordonnance et qui impose les médicaments comme on essaie de le faire croire via les médias

    - de l'aide au maintien à domicile pour les personnes âgées qui ne peuvent aller en maison de retraite et qui ne veulent pas endetter à vie une ou deux génération pour assurer ses soins ou les rembourser

    - de la gestion des organismes de formations qui donnent des formation en accord avec l'ASSEDIC mais qui débouche sur rien ?

    - de ce qui touche des propositions d'emplois qui se réduisent à peu d'heure de travail par semaine mais qui sont si bien faites que la personne ne peut pas travailler ailleurs ?

    - Avez vous une proposition pour solutionner les transports vers les hôpitaux qui sont à plus de 5km du patient surtout pour les accouchements quand la personne n'a pas d'argent pour payer un taxi et que c'est de nuit ?

    - Avez vous l'intention d'imposer aux Cie pétrolifère de baisser immédiatement, à la pompe, en France, le prix de l'essence quand le baril de pétrole baisse ?

     Et ce n'est qu'une partie des choses à réformer mais en creusant, je pourrais en rajouter !

    Il faut répondre au vrai question et ne pas répondre sur d'autres sujets que le Français comprend mais veut une réponse sur les vrais problèmes qui le touche tout les jours

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  •  Tous mes commentaires sur DSK ont été enlevés... Le POST dépendant du Monde m'a censuré pour celui là :"..
    ============================
    Cette réaction n'est plus visible : Pourquoi ?
    Voter DSK ? Plus pour moi...

    L'affaire DSK a été un déballage d'obscénités sur 2 personnes... Qui a gagné? Qui a perdu ? On commence à voir qui va ressortir blanchi de cette affaire... si DSK n'avait pas l'argent pour se faire déclaré "acquitté" et c'est ce qui va se passer, il serai resté en prison comme l'agresseur normal...Au, pardon, DSK n'est pas un agresseur, Il est un séducteur qui a de l'argent et qui croit pouvoir faire ce qu'il souhaite en tout impunité car il a le pouvoir...La femme de chambre n'est pas innocente au dire des journalistes qui ont changé leur fusil d'épaule... Si elle a trempé das des histoires louches, qu'elle paie à la société, mais c'est un autre procés, qu'on lui rende justice pour l'agression dont elle a été victime... Il l'a payé et elle serait consentante...Qui peut en témoigner ? Aucun témoin ? Alors arrêtons de propager des histoires pour faire vendre du papier et détourner les Français des vrais problèmes que nous avons...En tout cas, MOI, je NE VOTERAI PAS pour DSK...Cet Homme a un problème avec le sexe, ce serai envoyé son personnel féminin en "enfer" le temps de sa présence à l'Elysé et en plus il ne fera rien pour les "français du bas" ! Le 03/07/2011 09:24
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    Cette réaction n'est plus visible : Pourquoi ?
    Affaire DSK : quelles conséquences pour la présidentielle de 2012 ?

    Il est bizarre que la femme de chambre soit rentrée faire la chambre alors que le client n'a pas rendu sa clef...De plus, voyant les affaire encore là, elle aurait dû sortir où demander si il y avait quelqu'un, s'excuser et repartir...Il n'y aurait pas eu de scandale...cela sent le coup fourré à plein nez !

    Combien a coûté ce traquenard aux organisateurs pour essayer de faire tomber DSK ? Le 15/05/2011

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    Quand vous lisez mes commentaires, je en comprends pas la censure car je n'ai insulté personne...Je n'ai fait que donner mon opinion qui est restée respectueuse... Aurais je pu porter atteinte à DSK ou au PS...Suis je un Danger pour mon pays ? Je m'interroge !

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  • Surtout ne pas signer de papiers quels qu’ils soient et peut importe qui vous l’apporte car vous ne serez jamais propriétaire de ce compteur et vous n’avez pas à le payer car c’est un outil de travail et non pour votre propre usage personnel !

    S’ils veulent l’installer, que se soit à leur charge !

    Pour ce qui est du retard d’installation de ce compteur, c’est pour attendre que les élections passent mais ne vous faites pas d’illusion… Même si le  gouvernement venait à changer, on nous l’installera car c’est un marché de 4 milliards qui est en jeu !

    Avec ce type de compteur, cela va faire des émissions d’ondes de plus dans l’atmosphère et ce sera important vu que ce seront tous les ménages qui seront équipés !

    Restez vigilants et surtout ne donnez aucun accords écrits, ne faites rentrer personnes chez vous et ne signez rien pour ce compteur d’électricité !

    Vous avez tout à fait le droit de refuser !

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    Électricité - Le futur compteur Linky dans la tourmente ?

    Le Point.fr - Publié le 22/09/2011 à 14:49

     Par Guerric Poncet

    L'arrêté de généralisation des nouveaux boîtiers intelligents devait arriver durant l'été. Le gouvernement semble hésiter.

     

    Le compteur Linky pourrait arriver plus tard que prévu dans les foyers. © Aldo sperber / ERDF médiathèque

    Décidément, le parcours du compteur électrique intelligent Linky est semé d'embûches. Déjà critiqué lors du lancement des expérimentations, il fait aujourd'hui face aux hésitations du gouvernement. Comme le relèvent Les Échos, l'approche de l'élection présidentielle pourrait être un facteur perturbant pour le déploiement dès 2012 de ce projet, estimé à quatre milliards d'euros.

    Le financement du programme est le principal point d'achoppement, même si le futur propriétaire des compteurs, ERDF, a fait des concessions. Si le prix de Linky devait au départ être répercuté sur la facture des abonnés, il devrait finalement être pris en charge par ERDF. Oui, mais pour cela, le gestionnaire du réseau électrique national exige des garanties sur la durée de la concession : il lui faudrait au moins vingt ans pour rentabiliser l'investissement. Or une telle durée pourrait être incompatible avec les directives européennes sur la libéralisation du marché de l'électricité.

    Problème de vie privée

    L'objectif d'ERDF est de mieux gérer le réseau électrique français grâce au concept de "smart grid" (réseau intelligent). Les compteurs Linky permettront d'ajuster la production des centrales en fonction de la consommation réelle, et donc de moins polluer. Ils transmettront chaque évolution de la consommation d'un abonné au distributeur d'énergie, toutes les dix à trente minutes, via un réseau dédié. Pour l'usager, il y aurait deux avantages : les relevés de consommation se feront à distance, au lieu de nécessiter un rendez-vous avec un technicien, et une interface personnelle permettra de mieux analyser et réguler sa consommation.

    "La mise en place de ces compteurs électriques intelligents impliquera la collecte d'informations détaillées sur notre consommation électrique, ce qui pose des problèmes de respect de la vie privée", explique la Cnil sur son site. Selon le gendarme de la vie privée, les données recueillies "sont très détaillées et permettent de savoir beaucoup de choses sur les occupants d'une habitation, comme leur horaire de réveil, le moment où ils prennent une douche ou bien quand ils utilisent certains appareils (four, bouilloire, toaster...)". Mais le gouvernement a déjà signifié que cet argument n'était pas pertinent selon lui, et il n'hésite qu'en raison des questions financières et légales.

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