•  

    C’est cela la vie !

     

    Comment ne pas vouloir se battre contre la maladie

    Quand on ouvre sa fenêtre et que l’on entend le chant d’un oiseau ?

    La vie est belle, il ne faut pas lui tourner le dos !

    Je passe par la colère, je crie ma souffrance,

    Puis je m’apaise…C’est aussi cela la vie !

     

    Je maudis celui qu’on nomme Dieu

    Je ne comprends pas qu’il me laisse ainsi

    Je ne mérite pas de vivre avec autant de maladies

    Je me bats pour aller de l’avant, je fais au mieux !

     

    Combien de temps vais-je encore pouvoir lutter ?

    Heureusement que tu es là pour me dire de ne pas flancher.

    Tu me secoues, tu me crie après quand tu sens que je suis mal

    Tu me rappelle que je suis une battante au final !

     

    Oui, toi mon amour, même si parfois on ne se comprend pas

    Quand la douleur gagne et que je ne la supporte pas

    Et que je dis que je veux arrêter de me battre

    Tu me dis de continuer car tu m’aimes et que tu as besoin de moi !

     

    Alors je me relève et je reprends espoir grâce à toi !

    Et, comme un boxeur qui a pris un coup, je recommence à combattre

    A reprendre espoir pour des jours meilleurs

    A croire que, malgré mes douleurs, il existe quand même le bonheur !

     

    Annick BERNEAU—25 mars 2012

     

     

     

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  • Lettre au Père Noël !

     

    Papa Noël, quand tu descendras du ciel !


    Tu es là bas dans ton usine avec les lutins et farfadets,

    Vous mettez les « bouchées doubles » pour finir vos  jouets.

    J’ai été assez sage toute au long de cette année

    Mais, je ne veux pas de cadeaux pour moi.


    Simplement un endroit pour que plus personne n’ai froid !

    Que la faim ne vienne plus tenailler le vieillard, la mère et l’enfant.

    Que les guerres cessent avec tous leurs morts et leurs destructions.

    Que l’amour vienne sur cette terre, apporter joies et consolations.

    Que les politiques retrouvent la raison et oeuvrent pour le bien du pays.


    Que tu me permettes de voir ma famille et tous mes amis

    Réunis dans la joie  pour fêter cette  fin d’année,

    Au pied d’un sapin, par l’amour universel illuminé !


    Crois   tu pouvoir exaucer toutes mes demandes ?

    Cela ne pèsera pas dans ton traineau quand tu partiras avec toutes tes offrandes !

    Je te souhaite une bonne route et couvres toi bien.


    Notre terre est froide et la police surveille le trafic aérien

    Donc pas de dépassement de vitesse, tu serais filmé au radar,

    Et aurais la mauvaise surprise de recevoir une amende, quelques jours plus tard !


    Une mamie qui croit toujours en ta magie

    Annick Berneau le 3 décembre 2011

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  • Dans le cimetière endormi !

    Le brouillard épais, se lève sur le cimetière endormi.
    Des gens emmitouflés avancent sans faire de bruits.
    Leurs pas résonnent entre les lits de pierres fleuris.

    On s’arrête devant la tombe d’un parent, d’un ami,
    On fait une pause, on gratte la terre et on dépose des fleurs.
    On lui parle de ceux qui sont vivants, qui pensent à elle ou à lui.
    On lui rappelle le partage, avec elle ou lui, des moments de bonheur.


     

    Un petit enfant secoue le pan de la robe de sa mamie,
    Et lui demande, d’une voix timide « c’est qui, Mamie ? »
    Le temps se refroidit, le vent se lève, il faut déjà repartir.

    On lui dit « Au revoir mais on va revenir » !
    La traversée du cimetière se fait avec son souvenir.
    On avance dans la travée, à petits pas feutrés.
    Laissant derrière soi celle ou celui qu’on est venu saluer.

    Un jour, ce sera nous qu’on viendra honorer !

    A. BERNEAU - 1 er novembre 2012

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  • Une souris qui n’était pas verte !

    Dans mon jardin, se promène une souris.
    Elle passe près de moi sans faire de bruit.
    Elle est grise avec de longues moustaches blanches.
    Elle trottine sur les feuilles fanées et les branches.

    Elle s’arrête, tourne la tête vers moi,
    Reprend sa course vers un tas de bois,
    Puis disparaît dans le trou d’un muret.

    Mes chats, ont suivis ses déambulations,
    Intéressés, les yeux fixés avec attention,
    Sur cette souris qui n’était pas verte
    Mais qui était très alerte !

    A. BERNEAU 04/11/2011

    Une souris qui n'étais pas verte !

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