• Les déremboursements de médicaments vont continuer...Pourquoi ne pas les ôter de la Vente ?

    On continue à nous pressuriser pour notre santé ! Voir l'article du "FIGARO.fr" de ce jour, sur Internet !

    Si ces médicaments ne servent à rien pourquoi ne pas les retirer de la vente et ne laisser, dans certains domaines, que des médicaments ayant fait leur preuves et remboursés par la sécurités sociale.

    Pourquoi ne pas appliquer aux laboratoires les mêmes contraintes que pour les laboratoires de médication par les plantes...30 ans sans dégâts...! je n'irais pas jusque là mais au moins 6 ans sans aucun problèmes au sujet des effets secondaires...Il faut obliger les laboratoires à faire de la qualité et du résultat sur la santé du patient mais si ces médicaments sont trop bons, il n'y aura plus de malades et pour les laboratoires ce n'est pas bon d'avoir des gens en bonne santé surtout pour les "fonds de pensions" !

    Ils veulent faite le chantage d'aller vendre ailleurs leurs produits ailleurs...Cela dénote bien qu'il n'y a que l'argent qui motive les recherches pas la santé des malades !

    C'est une honte que les laboratoires puissent se permettre de faire pression sur le gouvernement en brandissant le chantage de ne plus vendre leurs médicaments en France !

    On veut nous imposer les génériques qui sont "une médecine de pauvre" bon à crever rapidement !

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    Dépenses de santé : plus de médicaments déremboursés 

    Par Olivier Auguste Mis à jour le 19/09/2011 à 08:32 | publié le 18/09/2011 à 08:10


    Le gouvernement ne devrait plus hésiter à dérembourser complètement les médicaments inefficaces. Crédits photo : JOEL SAGET/AFP

    Les grandes lignes du budget 2012 de la Sécurité sociale seront présentées jeudi. 

    Réduire le «trou» de 95,7 milliards d'euros de l'État demandera du temps. Prendre de nouvelles mesures sur les retraites donnerait l'impression que la réforme de 2010 était insuffisante. Et le gouvernement n'a pas la main sur les finances des collectivités locales. Pour donner un signal visible de baisse des déficits publics avant la présidentielle, le gouvernement a donc une priorité: l'Assurance-maladie. Son trou sera «divisé par deux entre 2010 et 2012», a déjà promis la ministre du Budget et des Comptes publics, Valérie Pécresse. Ce qui devrait le réduire à moins de 6 milliards d'euros.

    Pour cela, l'Assurance-maladie bénéficiera de recettes supplémentaires: elle récupérera une bonne partie des 10 milliards de prélèvements supplémentaires annoncés, fin août, par François Fillon. Mais elle devra aussi faire un effort sur ses dépenses. L'objectif sera de contenir leur hausse à 2,8% (contre 2,9% cette année), ce qui suppose 2,2 milliards d'économies par rapport à la progression spontanée.

    La répartition de ces économies sera présentée jeudi par le gouvernement, qui dévoilera les grandes lignes du projet de budget 2012 de la Sécurité sociale, en même temps que les dernières prévisions de déficit, qui sera inférieur à 18 milliards d'euros pour 2011. C'est l'industrie du médicament qui devrait être la première mise à contribution.

    Les baisses de prix, qui ces dernières années tournaient autour de 500 millions d'euros par an, seront plus proches cette année de 650-700 millions, selon les notifications déjà adressées aux laboratoires. S'y ajouteront des déremboursements.

    Alors que, par le passé, il avait souvent transigé, inventant notamment une «vignette orange» remboursée à 15 % par la Sécu, le gouvernement ne devrait plus hésiter, cette fois, à dérembourser complètement les médicaments inefficaces.

    La mise en garde des laboratoires 

    Depuis l'affaire Mediator, les Français n'ont plus une foi absolue dans les médicaments, ce qui devrait rendre moins difficile une telle mesure. Avantage annexe: tout comme les baisses de prix, les exclusions du remboursement font également réaliser des économies aux complémentaires, car elles aussi sortent les médicaments concernés de la liste des produits qu'elles prennent en charge. Or le gouvernement veut se réconcilier avec les complémentaires, après leur avoir infligé un milliard d'euros de taxe supplémentaire.

    Le Leem, la fédération professionnelle des laboratoires, souligne que ces mesures coïncideront en 2012 avec l'expiration de nombreux brevets, représentant selon ses estimations 1,2 milliard de chiffre d'affaires, contre une moyenne de 700 à 800 millions les années précédentes. En ajoutant à cela le projet de loi sur le médicament rédigé par le ministre Xavier Bertrand après le scandale du Mediator, le Leem craint l'an prochain un recul -inédit- du chiffre d'affaires de l'industrie pharmaceutique, qui pourrait atteindre 1% ou 2%.

    En outre, les prélèvements devraient augmenter: en vue, un relèvement de la taxe spéciale sur le chiffre d'affaire des laboratoires (actuellement fixée à 1%, elle pourrait revenir vers son niveau d'autrefois, soit 1,7 %) et une contribution nouvelle pour financer indirectement la formation continue des médecins, via l'État.

    Le Leem met en garde contre de nouvelles réductions d'effectifs, notamment chez les visiteurs médicaux, et contre un «climat de défiance» qui pousserait les grands laboratoires internationaux à préférer d'autres pays pour investir dans la recherche ou la production.

    Source : 

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